Musique toute !

1) Dans le cadre des 500 ans du Havre, Résonances et Les Prieurales présentent 

  Dimanche 1er octobre 2017, 17h00 Théâtre de l’Hôtel de Ville Le Havre :

  MAGNIFICENCES à la Cour de François 1er, en hommage au fondateur du Havre, le 1er roi  danseur.

   Un spectacle total de Doulce Mémoire qui vient pour la première fois au Havre. Un événement exceptionnel et festif à ne pas manquer. Denis Raisin Dadre, le directeur artistique, insère toujours le contexte historique dans ses réalisations et manifestations musicales. L’art, la musique, la danse, l’histoire et la littérature ont partie liée. 

 Réservation en cours.

Voici une initiative qui dépasse largement le cadre habituel des concerts ou spectacles musicaux avec une mise en scène et une chorégraphie de haut vol : reflet de la vie artistique fastueuse sous François 1er. A ce titre elle peut séduire un large public et mérite d’être connue des Amis du Studio.

 2) Le Studio a mis au point son prochain Cycle Opéra de Paris 2017-2018. Ci-joint le programme – de novembre à mai- avec leur argument et les principaux interprètes. (sélection de cinq opéras avec le concours de Résonances).

  Réservez ces dates. Séance unique pour chaque oeuvre, plein tarif: 16 €, tarif réduit 12 € (- de 18 ans), places en prévente au cinéma. 

Le Studio – Cycle Opéras 2017/2018

 La Cenerentola de Rossini / dimanche 12 novembre 2017,  18h00.

 La Cenerentola est le dernier opéra-bouffe composé en 1817 par GioachinoHYPERLINK « https://fr.wikipedia.org/wiki/Gioachino_Rossini » Rossini pour le public italien. Le livret est de Jacopo HYPERLINK « https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacopo_Ferretti »Ferretti, d’après le conte Cendrillon de Charles Perrault.

La pantoufle est remplacée par un bracelet afin d’éviter aux actrices de l’époque d’avoir à exhiber pieds et jambes aux yeux du public !. La fée est quant à elle remplacée par Alidoro, philosophe et tuteur du Prince Don Ramiro, dont Angelina (Cendrillon) est éprise. Enfin, l’acariâtre belle-mère est remplacée par Don Magnifico, père de Clorinda et Tisbe, et beau-père d’Angelina.

La bonté triomphe, puisqu’à la fin, Cendrillon, au moment de devenir reine, pardonne à son père et à ses deux sœurs.

 Première mise en scène de Guillaume Gallienne pour l’opéra dans des décors d’Eric Ruf, administrateur de la Comédie Française. Direction musicale : Ottavio Dantone.

 Samson et Dalila de Saint-Saëns / vendredi 15 décembre 2017, 19h30

  Inspiré d’un sujet biblique violent et érotique, l’opéra de Saint-Saëns – qui doit sa création en 1877 à l’insistance de Liszt – met quinze ans avant d’être joué à Paris, au Palais Garnier. Il devient par la suite l’un des opéras français les plus joués au monde avec Faust et Carmen. Dirigée par Philippe Jordan, cette nouvelle production marque le retour à l’Opéra national de Paris de ce chef-d’œuvre du répertoire qui n’y a plus été joué depuis un quart de siècle. Anita Rachvelishvili, majestueuse dans les rôles de femmes fatales, incarne la prêtresse venimeuse dans une mise en scène de Damiano Michieletto.

 Direction musicale : Philippe Jordan

Don Carlos de Verdi / dimanche 28 janvier 2018, 18h00

 Œuvre d’un Italien créée en français, où le climat de guerre avec l’Espagne et la mélancolie des êtres conduisent à porter le regard vers les Flandres. Les thèmes politiques, religieux, historiques, psychanalytiques, s’imbriquent les uns aux autres, resserrant toujours plus étroitement peurs et tabous entre les protagonistes. Krzysztof Warlikowski dépouille cette tragédie hantée par les fantômes, et fait advenir l’intime au cœur d’une fresque imaginaire – dont la vérité s’avère plus vraie que celle des historiens. Avec Philippe Jordan, il fait découvrir au public la toute première version de ce grand opéra en cinq actes : celle que Verdi avait lui-même amendée pour la création de l’œuvre en 1867.

 La distribution est éblouissante : Jonas Kaufmann, Ludovic Tézier, Sonya Yoncheva, Elīna Garanča.

 La Bohême de Puccini / vendredi 16 mars 2018, 19h30

 Est-ce parce que Murger avait lui-même connu cette existence au cours de sa jeunesse ? Nul autre que lui ne sut décrire avec plus de justesse, dans ses Scènes de la vie de bohème, ces artistes fauchés, crève-la-faim, prêts à brûler un manuscrit contre un peu de feu mais qui rêvaient une autre vie à l’âge de la bourgeoisie matérialiste triomphante. En s’emparant de ces scènes, Puccini nous livre, à travers la relation du poète Rodolfo et de la fragile Mimi, une histoire d’amour bouleversante et quelques-unes de ses plus belles pages d’opéra. La mise en scène signée Claus Guth situe le drame dans un futur sans espoir où l’amour et l’art deviennent la dernière transcendance.

Gustavo Dudamel est à la baguette et on retrouve Sonya Yoncheva dans le rôle de Mimi.

 Benvenuto Cellini de Berlioz / dimanche13 mai 2018, 18h00

Orfèvre et sculpteur florentin, Benvenuto Cellini a vite joui d’une renommée dépassant les frontières de l’Italie. Son tempérament flamboyant, la conscience exacerbée qu’il a de son talent, la liberté d’esprit dont il fait preuve au plus près des puissants sont autant de traits qui inspirent Berlioz, lecteur de ses Mémoires. Jamais loin des intrigues, des cabales et des rixes, Cellini doit fondre une grande sculpture de Persée commandée par le souverain pontife. Il est aimé de Teresa, mais celle-ci est promise à Fieramosca, un artiste académique qui n’a pas eu la faveur de recevoir la commande papale. L’univers exubérant déployé par Terry Gilliam entraîne les protagonistes dans un monde tout à la fois délirant, jubilatoire, claustrophobique et mégalomane : l’embrasement d’une folie communicative.

 John Osborn est Benvenuto Cellini, et Laurent Naouri Fieramosca.

 

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