21 novembre 2016
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Si le spectacle peut être une fête, il est parfois désespérant et nous incite à réfléchir, comme Tristesses d’Anne-Cécile Vandalem que nous avons vu au Volcan le 8 novembre. Le décor nous frappe, composé de maisons imbriquées les unes dans les autres, dont on sort, où l’on entre, suivi par une caméra invisible abolissant l’intimité,