26 février 2016
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« Les images ne doivent pas nous bombarder. Or, à la télévision, on manque de temps. Le journaliste est pris en étau entre le prompteur et le chronomètre. Cela entraîne une dissolution du regard et de la parole dans une immédiateté pulsionnelle qui n’a rien à voir avec le temps de la pensée. » Pour la philosophe