28 septembre 2015
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Essai sur l’art, la domination, la magie et le sacré Bernard LAHIRE Bernard Lahire n’en démord pas : « tout renvoie à la relation dominant-dominé ».(…) Non, le sacré n’a pas disparu de nos sociétés, affirme le désenchanteur. Il est même structurant, tel un invariant anthropologique. Avec cette frontière entre profane et sacré, qui place « en haut »